Vous avez peut-être suivi la finale du 16e Open d’Orléans sur beIN Sport. Vivre le sport par le biais d’un écran, c’est une chose, mais quel plaisir de retrouver, enfin, une ambiance, en direct…
Ambiance pendant le match, et après, pour des célébrations de victoires forcément plus festives. Aucun des finalistes du simple n’était francophone, mais tous les deux ont fait l’effort de dire quelques mots dans la langue de Molière.
Si le vainqueur, le Suisse Henri Laaksonen, ne s’est pas trop exprimé dans notre langue, son adversaire malheureux, l’Autrichien Dennis Novak, a « osé » un peu plus, et expliqué avoir appris le français à l’école, mais avoir tout oublié.
Du temps pour les supporters
En dépit des règles sanitaires assez strictes, les deux joueurs ont passé du temps avec les supporters à l’issue de la cérémonie protocolaire. Ils ont volontiers accepté les photos, et autres signatures d’autographes.
Ambiance festive aussi autour de la finale du double, entre Français, ravis également de retrouver un public, avec qui partager cette même passion du tennis.
« Vous étiez là malgré l’obligation du port du masque » souligne Pierre-Hugues Herbert, habitué du rendrez-vous orléanais. Une victoire en simple, trois en double, dont celle avec son pote Albano Olivetti, face à une autre paire française. Les vainqueurs de cette 16e édition ont pris le temps de partager leur joie avec les spectateurs.
Un véritable travail d’équipe
Les quatre joueurs ont mis en avant le plaisir de se retrouver, entre eux, mais aussi avec le public, sans oublier toute l’équipe d’organisation et les nombreux bénévoles.
De report en report, tout a été compliqué dans l’organisation de l’événement. Il a fallu tout repenser en fonction des règles sanitaires, tout le monde a joué les jeu.
L’occasion, une nouvelle fois, de saluer le travail de chacun, notamment du collège de Neuville-aux-Bois. Avez-vous déjà tenté de faire de l’exercice avec un masque? Les jeunes ramasseurs l’ont fait, cela mérite un coup de chapeau encore plus grand.
